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Rédigé par lamaisonfassier à 06h30 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Pas le temps de s'en faire une justement ! Il faut honorer les commandes et préparer le Salon Maison & Objet en même temps ! Peu importe, nous sommes fous d'excitation, alors c'est du stress-plaisir !
Mais nous voilà fins prêts (sauf sur notre site où certaines images insérées dans les notes ont disparu ! …mais on nous garantit que le nécessaire se fait…so, wait and see !).
Un premier chargement est parti hier sur Paris avec l'ensemble des structures à installer sur notre espace d'"intérioristes" (presque) comme à la Maison. Demain, deballage, aménagement et les derniers ajustements (tard) pour enfin, vous accueillir.
Comme à la Maison.
(photo : Martine Camilleri)
Rédigé par lamaisonfassier à 23h19 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Philippe (Les Mille Feuilles) vient un soir dîner à la maison avec des amis, son sac retapé de toutes pièces en boudoulière. Une besace déconstruite puis reconstruite selon son goût, sa patte. Bref, un sac tout neuf revisité de fond en comble par ses soins, une réapropriation réussie de l'ancien.
Je prends bien note de quelques suggestions et sélectionne dans mon stock de toiles anciennes chinées ici et là des pièces de choix de pour ma future création. Je coupe, j'assemble, je couds : l'excitation se fait plus intense lorsque dans la nuit, je bâti le premier prototype de mon sac. Depuis, c'est la phase de production de plusieurs pièces qui seront présentées au prochain salon de septembre, et bien sûr très bientôt au magasin.
On prend déjà les commandes ?
Ajouté le 24/08
› depuis ce post, quelques pièces uniques ont été réalisées et sont visibles ici.
Rédigé par lamaisonfassier à 00h27 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé par lamaisonfassier à 23h45 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le journal Le Perche est l'un de mes plus fidèles compagnons. Puisque la proximité est à la mode, voici un titre qui remplit pleinement sa vocation. Les photographies hélas ne sont pas toujours de la meilleure qualité, mais faut-il incriminer des rédacteurs pigistes que l'on oblige, faute de moyens, à prendre les photos de leurs articles, ou plutôt l'imprimerie, ou encore la qualité du papier ? Il y aussi les photographes que l'on oblige à prendre la plume, ce qui s'appelle, dans l'un et l'autre cas, tomber de Charybde en Scylla. Il y a des titres qui servent tellement qu'on ne les saisit sans doute plus sur écran, ils doivent figurer en insertion automatique. Par exemple: "Plus de peur que de mal". Presque chaque semaine, quelque personne a frôlé quelque accident qui aurait pu lui causer autant ou plus de mal que de peur. …/… D'autres titres en revanche semblent destinés à rester dans les mémoires comme des exemplaires uniques. Par exemple : "A Condé-sur-Huisne, un homme retrouvé mort sur son canapé". Un pareil titre est une véritable leçon de choses. Il vous fait regarder votre canapé d'un autre oeil, sinon d'une autre fesse, et cela dure la semaine, jusqu'au prochain numéro du Perche.
Jean-Pierre Maurel vient de publier "Paris-Perche Express" ou le journal d'un accouru dans le Perche. Un accouru est le terme (non encore référencé dans les dictionnaires) qui désigne toute personne sans racines percheronnes ayant acheté une maison dans le Perche …en général, c'est un parisien. En accouru qu'il est, Jean-Pierre Maurel pose un regard amusé, gentiment corrosif, mais néanmoins plein de poésie sur la région : son triangle d'or, ses habitants …et ses accourus, sa campagne, son silence, et bien d'autres choses comme ce sujet sur le titre de presse écrite local, Le Perche, dont nous publions en accord avec l'auteur l'extrait ci-dessus.
"Paris-Perche Express" de Jean-Pierre Maurel est paru aux Editions de l'Etrave (illustrations de Christian Roux) | 2006 - 75 pages - 15 euros
Incontournable également : "Le Perche à l'aube du troisième millénaire" de Vincent Malone, (voir aussi dans Stratégies) recueil de coupures presse (avec photos !) extraites du quotidien percheron qui illustre bien cette "insertion automatique".
Rédigé par lamaisonfassier à 02h00 | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)